MARÍA GABRIELA FIGUEROA
Née à Buenos Aires en 1979, où elle est diplômée en Arts auprès de la Faculté de Philosophie et des Lettres de l’Université de Buenos Aires (UBA), María Gabriela Figueroa poursuit sa formation post-diplôme en Culture Brésilienne auprès de l’Université de San Andrés (UDESA) et, par la suite, se spécialise en Gestion culturelle et Communication auprès de la Faculté Latino-Américaine des Sciences sociales (FLACSO). En 2016, elle participe du Laboratoire de Gestion en musées, spécialement conçu par la Fondation TyPA de Buenos Aires pour les futurs leaders professionnels des institutions culturelles.
Avec un riche parcours en enseignement supérieur en Histoire de l’art, pendant dix ans elle enseigne à Buenos Aires : À l’Université des Arts (UNA), elle est Professeure assistante des chaires d’Histoire des Arts visuelles I, II et III et, de 2013 à 2016, à la Faculté de Design et de Communication de l’Université de Palermo, elle dirige l’Atelier de réflexion artistique I.
En 2016, elle organise et assure des cliniques d’œuvres à la Galerie Mercedes Giachetti, à Buenos Aires, et dirige la sélection du portfolio d’artistes avec Margarita Gómez Carrasco.
Avec un profil plurilingue en anglais, français, espagnol et portugais, dès 2008, elle fait partie des équipes éducatives des institutions culturelles de renommé à Buenos Aires : Éducatrice auprès du Musée d’Art Latino-Américain de Buenos Aires MALBA – Fondation Costantini, bilingue espagnol et anglais; Educatrice trilingue espagnol, français et anglais, attachée à la collection d’Art Amalia Lacroze de Fortabat et auprès de l’Espace Fondation Telefónica. Elle conçoit des visites guidées pour le Musée National des Beaux-Arts, à Buenos Aires (dans le cadre de l’exposition « Le cubisme et ses entourages dans les collections Telefónica ») ainsi que pour le Centre Culturel Borges, pour La semaine de l’art, organisée par le magazine Arte al día et pour Estudio Abierto, co-organisé avec le Secrétariat à la Culture de la Ville de Buenos Aires. Entre 2005 et 2008, elle est éducatrice artistique trilingue en espagnol, français et anglais pour l’entreprise argentine de tourisme culturel « Eternautas, Viajes Históricos ».
Conseillère expert didactique du Musée Juif de Buenos Aires, elle y organise le matériel audiovisuel à destination d’un public général et d’un public adolescent. Elle rédige aussi le matériel didactique pour éducateurs du MALBA.
Éditrice, rédactrice et passionnée de la recherche, María Gabriela Figueroa ouvre pour l’art et les artistes collaborant avec-eux, menant des recherches et en publiant de très nombreux travaux comme la base de données du site web de l’artiste argentin Víctor Magariños D. et les biographies actualisées du catalogue raisonné du Musée d’Art Moderne de la Ville de Buenos Aires – MAMBA. Elle assiste Florencia Battiti dans sa recherche « Kemble par Kemble » autour de l’artiste argentin Kenneth Kemble, avec l’appui institutionnel de la Fondation Espigas et elle réalise l’interview de l’artiste Juan Melé, dans le tableau méthodologique de l’Histoire Orale, dans le cadre d’une recherche co-dirigée par Andrea Giunta et Cristina Rossi, dont le fruit sera la rédaction de l’article en espagnol : El poder de la palabra en la disputa por el sentido de la historia, paru dans l’essai « Tomás Maldonado, un moderno en acción. Ensayos sobre su obra », publié à Buenos Aires, par les éditions Eduntref, en 2009. Entre 2013 et 2015, elle dirige la publication indexée, en espagnol: Lecturas y Poéticas del Arte Latinoamericano: apropiaciones, rupturas y continuidades, appartenant au Cahier n°60 dans “Cuadernos del Centro de Estudios de Diseño y Comunicación” pour l’Université de Palermo, à Buenos Aires.
Depuis 2012, sa devise « L’art améliore et enrichit la vie des gens » se traduit dans la rédaction des critiques d’art pour le magazine spécialisé El Gran Otro, et pour la rubrique Buena Vida du site web du journal argentin Clarin.com.
En tant que agent culturel, elle conçoit des projets pour des artistes étrangers à Buenos Aires, avec les représentantes artistiques françaises Delphine Courtay et Olivia Sappey. Elle représente, en anglais et en espagnol, la chanteuse soprano lyrique Carolina Ghigliazza.
Depuis 2017, elle est curatrice indépendante et elle accompagne deux ans la Galerie Marifé Marcó Art, à Nordelta, province de Buenos Aires.
L’ensemble de son travail témoigne de son engagement pour la protection des droits de l’Homme et des vertus citoyennes : elle travaille solidairement avec l’institution The World Academy of Arts, Literature and Media (WAALM), dans son siège de Londres. Elle y participe, en 2013, de l’évènement international : Arts for Peace, à travers un podcast et, à l’année suivante, elle rédige un article : You are the master of your fate and captain of your soul, dans le cadre du projet humanistique contre le harcèlement scolaire : « Walk in style ».
Aujourd’hui, tout en poursuivant son activité professionnelle indépendante, elle suit un master en Études Latino-Américaines auprès de l’Université Nationale de San Martín (UNSAM) et ce dans ce cadre qu’elle effectue un échange de mobilité internationale avec l’Université Paris 8 Vincennes – Saint – Denis, au Master II Philosophie.